[Liminaire] Sainte-Marthe Scévole de,
[Sans titre],
« Quand un mortel cheri des Destinées », Page de titre des exemplaires au nom des frères Bouchet
[Liminaire] Sainte-Marthe Scévole de,
Sc. Sam.,
« Postquàm Ronsardi ductu, mea Gallia, Musæ », f. A v°
[Liminaire] Bouchet Guillaume,
A monseigneur de Saint Gelays Evêque d'Uzes,
« Monseigneur, quelque chose que vueillent dire ceus qui tâchent à mépriser l'honneur où ils ne peuvent ataindre... », f. A ij r° - v°
[Liminaire] Sainte-Marthe Scévole de,
Au lecteur,
« Je pansoi bien que les amis de J. de la Peruse feussent contans de moi, aïant à leur requête ajouté ce qui defailloit à sa Médée manque parci-parlà de quelques petis mambres... », f. A iij r° - v°
[Liminaire] Sainte-Marthe Scévole de,
A Monseig. l'evesque de Cistron,
« L’ardeur qui à te plaire enflame mon courage », f. A iiij r°
[Liminaire] Bounin Gabriel,
Scaevolae Sammarthano Gab. Boninus bituricus castrorodolpheus,
« Quis te, Sammarthane, Polo cecidisse micanti, », f. A iiij r°
[Liminaire] Sainte-Marthe Scévole de,
L'Argument de la tragedie,
« Médée abandonnée de son Jason, se prit à faire de si furieuses menaces qu'elle donna occasion au Roy Créon de la banir... », f. A iiij r°
[Liminaire] Maisonnier Roger,
Sonet à ce propos par R. Mais. Poitevin,
« Jason voïant déja se lever le donjon », f. A iiij v°
[Liminaire] Le Roy Nicolas,
N. L. R. De la Boiciere,
« Peruse discourant en sa Tragique histoire », f. A iiij v°
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
La Médée,
« Dieus, qui avés le soin des loix de mariage », 1e partie, p. 1-49
[Post-Liminaire] Muret Marc-Antoine,
M. A. D. M.,
« Bons Dieus, qu'est-ce que j'oi ? quel éclatat tonnerre », 1e partie, p. 49 [post-liminaire à La Médée]
[Post-Liminaire] Blondel Pierre-Marin,
Ode par P. Marin Blondel Lodunois,
« Par quelle sacrilege audace / Ô Demorgonniene race », 1e partie, p. 50-54 [post-liminaire à La Médée]
[Post-Liminaire] Bounin Gabriel,
Ode sur la Medée de J. de la Peruse, par Gab. Bounin Berruier,
« François, pourquoi ainsi pleures tu et gemis », 1e partie, p. 54-56 [post-liminaire à La Médée]
[Post-Liminaire] Bouchet Guillaume,
G. Bouchet,
« Ton sanglant échafaut, Peruse, autant m’étonne », 1e partie, p. 56 [post-liminaire à La Médée]
[Liminaire] Maisonnier Roger,
[Sans titre],
« Tombier tu panses donc remerchant ceste pierre », 2e partie, p. 1 [page de titre des diverses poésies]
[Liminaire] Maisonnier Roger,
R. Mais. Poitevin,
« Quand les fiz de la Terre armerent tous leurs bras », 2e partie, p. 2 [liminaire aux diverses poésies]
[Liminaire] Toutain Charles,
Ch. Toutain,
« Comme saigneuse encor ma plume je tirois », 2e partie, p. 2 [liminaire aux diverses poésies]
[Liminaire] Bouchet Guillaume,
G. Bouchet a J. Boiceau, seigneur de La Borderie, et à monsieur de Sainte Marthe, ses bons seigneurs et amis,
« C’est un dire assés vulgaire, que les choses precieuses communement sont rares... », 2e partie, p. 3-4 [liminaire aux diverses poésies]
[Liminaire] Chantecler Charles de,
C. de Chantecler,
« Ajoutés aus honneurs de Jason, que trois fois », 2e partie, p. 4 [liminaire aux diverses poésies]
[Liminaire] Ronsard Pierre de,
Epitaphe de Jan de la Peruse, Angoulmois,
« Tu dois bien à ce coup, chetive Tragedie », 2e partie, p. 5-6 [liminaire aux diverses poésies]
[Liminaire] Vauquelin de la Fresnaye Jean,
Au Tombeau de La Peruse,
« Quel Dieu gist en ce lieu ? - Nul Dieu ne gist ici, », 2e partie, p. 6-7 [liminaire aux diverses poésies]
[Liminaire] Bouchet Guillaume,
De l'amie de feu J. de La Peruze, G. Bouchet aus poetes,
« Pourquoi menés vous tel dueil », 2e partie, p. 7 [liminaire aux diverses poésies]
[Liminaire] Bouchet Jacques II,
Ja. Bouchet,
« Je t'ai taillé, Peruse, un Tombeau eternel », 2e partie, p. 8 [liminaire aux diverses poésies]
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A monsieur l'Evêque de Terbes, A. d'Achon,
« Bien que l'aveugle écrivain », 2e partie, p. 9-16
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A J. Boiceau, Seigneur de La Borderie,
« Les ennuis continuelz / Qui bourrellent nötre vie », 2e partie, p. 17-33
[Pièce insérée] Boiceau de La Borderie Jean,
Par J. Boiceau, Seigneur de La Borderie, A J. de La Peruse, Fuïants de Poitiers pour la Peste.,
« C’est à ce coup, savant Peruse », 2e partie, p. 34-37
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Ode à Ge. Bucchanan,
« Sus à coup page qu’on déscende », 2e partie, p. 37-40
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Ode à un envieus blasonneur,
« Quelle Erinne échevelée / Du fond d'Enfer r'apelée », 2e partie, p. 41-42
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Epigramme à Vénus,
« Di moi Vénus, pour quoi as-tu permis », 2e partie, p. 42 (faussement paginé 62)
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Chansons,
« [Incipit non renseigné] », 2e partie, p. 43 (faussement paginé 28) - 53
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A la Francine de J.A. de Baïf,
« Mais n'avois je pas prédit, / Que ton cors et ton esprit », 2e partie, p. 54-58
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
De Jaq. Tahureau, et son Admirée,
« Poëte mignardelet, / Mignardement doucelet », 2e partie, p. 58-61
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A Jane,
« Jane, quand je te regarde, / Ce faus Archerot me darde », 2e partie, p. 62
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A Madamoiselle de Dampierre,
« Vierge mignonne des Dieus, / Vierge mignonne des Muses », 2e partie, p. 63-64
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A Madamoiselle J. Bartelot,
« Comme le branler d'une onde / Les choses sont en ce monde », 2e partie, p. 64-65
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A C. C.,
« Le petit Dieu vainqueur des plus grans Dieus », 2e partie, p. 66
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A F. de G.,
« Plus qu'en Tableau ou en Cuivre / L'Admiré peut faire vivre », 2e partie, p. 66-67
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A l'amie de mon ami G. Bouchet,
« Amour, loïeuté, et foi, / Logent au cœur de celui », 2e partie, p. 67-68
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A une damoiselle dont les lettres capitales portent le nom,
« Celui qui dans un cors souhaitera de voir », 2e partie, p. 68-69
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Contr' etrénes,
« [Incipit non renseigné] », 2e partie, p. 69-70
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Au Roi. Vers Alexandrins,
« Noz Peres abusés par un' erreur commune », 2e partie, p. 71-72
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A F. Delauzon, Docteur,
« En-ce-pendant qu'en dous langage », 2e partie, p. 72
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Sur la mort du capitaine Faïoles, le puiné,
« Quoi ! dureront tou-jours tant de maus inhumains », 2e partie, p. 73-77
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Sur la mort de F. Clermont, Seigneur de Dampierre,
« Si pour un homme mort tu reçeus jamais dueil », 2e partie, p. 77-81
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Sur la mort du fiz de P. Chesnai, Banquier à Poitiers,
« Est-ce donques le grand aise / Attandu si longuement ? », 2e partie, p. 81-84
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Epitaphe d'Anne de Poulignac, Contesse de Sancerre, et de la Roche-focaud,
« Anne de Poulignac jadis deus fois Contesse », 2e partie, p. 84
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Oraison pour avoir santé,
« Dieu, vrai Dieu, Dieu seigneur de nous pauvre humains », 2e partie, p. 85-88
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A G. Bouchet, à son depart de Poitiers, disant à Dieu,
« Bouchet, que n’est-il permis / Que l’homme avec ses amis », 2e partie, p. 89-93
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A P. de Francheville,
« Tandis que dure la jeunesse, / Passons là parmi les ébas », 2e partie, p. 93
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
J. de La Péruse à P. de Ronsard Prince des Poëtes François,
« D’où vient, Ronsard, que la dépite Envie », 2e partie, p. 94-94
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Jan de la Peruze à Olivier de Magni poëte liriq,
« Si tout ainsi comme je voudroi bien », 2e partie, p. 94-95
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
D'un pourtrait voilé de l'Admirée,
« Les Dieus voulans montrer le plus de leur avoir », 2e partie, p. 95
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
[Sans titre],
« Mais qui vous meut, ô ma douce guerriere », 2e partie, p. 95-96
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A M. A. de M. Des trois premiers Poëtes de France, et de lui,
« Cassandre vit, et vivra par les vers », 2e partie, p. 96
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Contre un injurieus Poëtastre,
« Ciclopes courageus horriblés vôtre ouvrage », 2e partie, p. 97
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A C. C.,
« Tu me fuis donq ? donq tu ne m'aimes pas », 2e partie, p. 97-98
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Aux Muses,
« A Dieu vous di, Muses Aônienes », 2e partie, p. 98
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A C. C.,
« C’est toi à qui je veux dédier mon amour », 2e partie, p. 98-99
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A R. Maisonnier,
« Mon Maisonnier, il faut que l’homme meure », 2e partie, p. 99
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A Jaq. Tahureau,
« Celui qui as ta Cassandre chanté », 2e partie, p. 99-100
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Sonet perdu à la rafle, contre J. A. de Baïf,
« Puis que le Dé t’a fait mon crediteur », 2e partie, p. 100
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Amourete à C. C.,
« Ce pendant que la tristesse / Ronge mes espris sans cesse », 2e partie, p. 101-109
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Ode à F. Boissot son voisin et ami,
« Le tout-puissant quoi qu'il tarde / Sa peau de Chévre regarde », 2e partie, p. 110-117
[Post-Liminaire] Sainte-Marthe Scévole de,
La sauterelle de Sc. de S. M.,
« Au tans qu’en l’aide du Troïen », 2e partie, p. 117-120